Ce pont bâti sous le chemin des Contamines il y a plus de cent ans ne résiste plus aux masses de 40 tonnes et bien plus qui circulent sur ce chemin. Un trou s’est formé, sur le chemin, profond d’1,20 m. Le diagnostic réalisé par une entreprise montre que la solidité de cet ouvrage est compromise. Il faut le remplacer !
A partir de la fin de ce mois d’août et pour au moins trois semaines, il sera complètement déposé, le ruisseau dévié, et reconstruit pour résister à de telles masses. Montant total des travaux : 25 125 €. Un dossier conséquent est déposé auprès de la Police de l’Eau pour autoriser ces travaux.
En attendant cette reconstruction, un dispositif de protection par barrières est mis en place.
Et il est régulièrement déposé et jeté dans le ruisseau. Ce qui supprime toute protection et crée un danger important. Inadmissible !
La personne, ou les ?, qui se permet de mettre ainsi en danger les autres usagers, y compris et surtout les enfants, ou les vététistes, en enlevant les barrières de protection, peut-être en considérant que cela le gène dans ses déplacements, va nous conduire, si cela se répète une seule autre fois, à fermer totalement le chemin des Contamines en attendant que les travaux de réfection soient faits. En faisant cela, elle engage sa responsabilité. La gendarmerie est avertie de cette situation et prendra si besoin les mesures qui s’imposent.